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Les autorités en charge de l’examen des dossiers sont particulièrement exigeantes quant au caractère précis, cohérent et fondé, des demandes qui leur sont soumises. 

 

Par conséquent, le demandeur doit faire preuve d’une grande application dans la préparation de son dossier. 

 

A la suite de potentielles premières difficultés pratiques pouvant se présenter au stade de la préfecture, s’en poseront d’autres, plus substantielles, concernant le contenu du formulaire qui sera transmis à l’Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides (OFPRA)

 

En effet, votre récit tel qu’initialement rédigé au sein de ce formulaire, ainsi que les pièces éventuellement produites, seront déterminantes.

 

Un accompagnement dès cette première étape est fortement recommandé. 

 

Viendra ensuite l’entretien à l’OFPRA, mené par un Officier, a priori au fait des spécificités de votre pays.

 

Vous avez le droit d’être assisté lors de cet entretien. 

 

Si un refus devait vous être finalement opposé par le Directeur de l’OFPRA, un recours auprès de la Cour Nationale du Droit d’Asile (CNDA) est possible. 

 

Cependant, le délai pour ce faire est très court, justifiant une particulière réactivité. 

 

Un recours devra être rédigé afin que la CNDA soit saisie de votre dossier, laquelle peut vous convoquer en audience, mais n’en a pas l’obligation, particulièrement, lorsque le recours n’est pas assez développé. 

 

Fort d'une expérience personnelle et professionnelle le Cabinet KAROOMI vous accompagne tout au long du chemin.

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